Ma mère dit un jour: Notre ennemi , c'est l'ignorance: il faut le vaincre par l'amour.
Au bord des mers , le long des fleuves, dans la vallée et sur les monts, batissons des écoles neuves pour les petits enfants que nous aimons.
Et pour batir maisons nouvelles,jamais les maçons plus gaiment, ne sont montés sur leurs echelles, et n'ont pétri plus dur ciment.
Les anciens, se sentant revivre, s'écriaient:Nos enfants seront plus heureux.
Alors, la muse de l'histoire vit surgir, d'un coup, par milliers, des palais pour les écoliers.
Les livres prirent la parole, quand les maçons furent partis; et l'on vit courir vers l'école, tout le peuple des tout petits.
Le cartable battant l'échine, tous allaient vers la maison blanche, on chantait comme une armée: Enfants!! Formez vos bataillons!!!
Et le livre,avec tous ses feillets chantants, leur criait: c'est moi qui délivre ,je brille sur la nuit des temps...Venez!! Je donne à qui sait lire, des bonheurs qui sont infinis...Je montre aux peuples, dans un reve, ce que les yeux ne sauraient voir...
Et les chers petits, couraient vers l'école, sentant cet amour maternel qui les appelait tous en chantant..
Le petit peuple de la veille, c'est le grand peuple d'aujourdh'hui...
Au bord des mers , le long des fleuves, dans la vallée et sur les monts, batissons des écoles neuves pour les petits enfants que nous aimons.
Et pour batir maisons nouvelles,jamais les maçons plus gaiment, ne sont montés sur leurs echelles, et n'ont pétri plus dur ciment.
Les anciens, se sentant revivre, s'écriaient:Nos enfants seront plus heureux.
Alors, la muse de l'histoire vit surgir, d'un coup, par milliers, des palais pour les écoliers.
Les livres prirent la parole, quand les maçons furent partis; et l'on vit courir vers l'école, tout le peuple des tout petits.
Le cartable battant l'échine, tous allaient vers la maison blanche, on chantait comme une armée: Enfants!! Formez vos bataillons!!!
Et le livre,avec tous ses feillets chantants, leur criait: c'est moi qui délivre ,je brille sur la nuit des temps...Venez!! Je donne à qui sait lire, des bonheurs qui sont infinis...Je montre aux peuples, dans un reve, ce que les yeux ne sauraient voir...
Et les chers petits, couraient vers l'école, sentant cet amour maternel qui les appelait tous en chantant..
Le petit peuple de la veille, c'est le grand peuple d'aujourdh'hui...
~ بسـم الله الرحمـن الرحيــم ~
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